On pourrait y voir une amélioration, mais ce n’est pas forcement le cas. Si les graphismes en 3D sont bien évidemment appréciables, Babel Rising a sacrifié sa simplicité et son côté défouloir. Il s’agit maintenant d’un « gros » jeu aux parties qui s’éternisent et se ressemblent.
Autre détail agaçant, cette manie de nous faire acheter, acheter acheter, qu’il s’agisse de nouveaux pouvoir, de nouveaux niveaux ou de nouveaux modes de jeu. On croyait au départ à un vil procédé de freemium visant à nous faire mettre la main au porte-feuille, mais en fait non, même pas, la monnaie s’acquiert uniquement dans le jeu en exterminant des ouvriers babyloniens. Mais alors pourquoi ? Ubisoft n’aurait pas pu penser à un système d’upgrade plus ingénieux ?
Ne jetons tout de même pas Babel Rising au brasier, son gameplay demeure très appréciable, ne serait-ce que par plaisir sadique, et on aura tout de même le temps de rentabiliser ses 3.99€ avant de se lasser.