Gravity Racing Madness : Sens dessus-dessousGravity Racing Madness
se présente comme un Tiny Wing-Like (ou plutôt devrait-on dire un WavesPark-like), c’est à dire qu’il s’agira là aussi de faire dévaler des collines à un objet rond. Mais cette fois, plutôt que de changer la masse de l’objet, on inversera la gravité du décor. Conséquence : beaucoup moins de vols planés, beaucoup plus de vitesse, et un objectif de rapidité plutôt que de distance. Gravity Racing est beau, haletant, et il sera bien difficile de décrocher avant d’être venu à bout des 70 niveaux.
SteamPunk Racing 3D : Fumeux !
Le SteamPunk est une uchronie partant du principe que la technologie s’est arrêté à la révolution industrielle, les principales sources énergies étant alors la vapeur, et dans une très moindre mesure l’électricité. Maintenant… imaginez un Mario Kart dans ce contexte. Le charbon remplace les champignons et les bobines Tesla remplacent les carapaces. L’ambiance du jeu est exemplaire, mais la maniabilité n’est malheureusement pas au rendez-vous.
Killer Escape : Saw 7
Tirer sur des zombies dans une ville en ruine n’est pas le seul moyen de se faire peur, Killer Escape peut aussi bien faire l’affaire. Ici, pas d’armes pas d’ennemis, mais un Escape Room à l’atmosphère particulièrement angoissante. Les énigmes sont corsées et le jeu se terminera au bout d’une petite heure intellectuellement gratifiante. Parviendrez-vous à sortir de cette cellule sanguinolente avant que le serial killer ne revienne vous finir ?
Gunslugs Free : Permis de tuer
Les productions d’OrangePixel sont d’une régularité étonnante. Toujours funs, toujours pixelisées, et jamais bien originales cependant. Gunslugs ne fait pas exception à la règle, si ce n’est que le contexte agent-secret-bourrin dans lequel il se place (James Bond époque Pierce Brosnan si vous voulez..) a un petit côté excitant. Ça saute, ça canarde et c’est plein de petits détails qui donnent le sourire (se cacher derrière les caisse, s’envoler en hélicoptère…). On s’y croirait.
King’s Bounty Legions : La déception
Au premier coup d’oeil, King’s Bounty se présente comme un héritier des Heroes of Might & Magic, la série de jeux de combat stratégique au tour par tour. Malheureusement, il se s’avère pas au second coup d’œil en être un « digne » héritier. Le jeu est bon globalement, mais tout un tas de détails viennent le gâcher. Le choix de la 3D par exemple est assez étrange, puisque celle-ci, en plus de demander plus de ressources quand le gameplay n’en a pas l’usage, aboutit sur des animations moches et sans âme. La nécessité de se connecter pour chaque partie est également très gênante, et pour couronner le tout, le jeu à une forte tendance « pousse à l’achat ». Bref, c’est raté, et c’est bien dommage.
