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Google annonce un nouveau bracelet connecté pour les professionnels de la santé

Un nouveau projet des laboratoires Google X vient d’être révélé, il s’agit d’un bracelet connecté à destination des professionnels de la santé.

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Les laboratoires Google X sont très prolifiques. Après les Google Glass, la lentille pour les diabétiques, les voitures autonomes, un nouvel objet vient d’être révélé : il s’agit d’un bracelet connecté pour les professionnels de la santé (photo ci-dessus).

Le nouveau bracelet de Google n’a rien à voir avec ce que peut proposer Fitbit ou Withings. Il se destine au corps médical et ne sera donc pas prévu à la vente pour le grand public. Ce bracelet sera capable de prendre le pouls, le rythme cardiaque, la température de la peau, la lumière reçue et le bruit ambiant de manière précise minute par minute. En d’autres termes, on retrouve un Fitbit couplé à un Netatmo June avec des fonctionnalités propres.

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En effet, les bracelets connectés vendus dans le commerce n’ont pas pour usage de remplacer le médecin ou de se soustraire à un examen médical. Du coup, les gens les utilisent un peu n’importe comment, ne sachant pas quoi faire des données récoltées par ce biais. Ainsi, une étude de GfK montre que 30 % des utilisateurs d’objets connectés les abandonnent au bout de 6 mois.

Google souhaite proposer aux professionnels de la santé ce bracelet afin qu’il soit prescrit au patient et être utile dans le traitement de celui-ci. Cela permettra de suivre l’évolution du patient sans devoir faire un checkup complet toutes les semaines. Il n’est pas prévu que ce bracelet devienne un objet sous Android Wear voire une vraie montre connectée. Par la suite, on peut imaginer que ce bracelet communiquera en temps réel avec le docteur afin qu’il soit au courant de toute complication.

La firme de Mountain View n’a pas communiqué sur une éventuelle date de disponibilité puisque ce genre de produits doit d’abord passer devant des commissions pour être autorisé. Google prévoit de le tester aux États-Unis et en Europe.

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