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CyberGhost, le VPN anti-censure en promo à 2,03 € (-83%)

Saviez-vous que depuis 2010, la France est sur la liste des pays «sous-surveillance» de Reporter sans Frontières ? La démocratie dans notre pays a bien reculé et cela pourrait aller de pire en pire. Des sites disparaissent de nos radars et des lois mal foutues pourraient bien servir à museler la population par de futurs gouvernements encore plus malfaisants (oui, c’est toujours possible). Voyons comment se protéger…

De nombreux sites qui disparaissent de nos radars chaque année. Décisions administratives ou de justice, les FAI sont sommés de ne plus répertorier certains sites. La faute à la loi LOPPSI et son filtrage Internet qui était censé censurer les contenus pédopornographiques, mais qui permet de bloquer à peu près ce qu’on veut. Comme d’habitude, on utilise la pédopornographie et le terrorisme pour faire passer des mesures liberticides…

En 2015, l’ONG Freedom House estimait même que la France est l’un des pays où la liberté sur Internet a le plus reculé. Si la plupart du temps il s’agit de sites où l’on peut trouver des films, des séries et des jeux vidéo, en 2019 la France a décidé de bloquer des sites à but éducatif comme Sci-Hub (recueil de revues scientifiques) ou LibGen (bibliothèque de livres numériques).

Les contenus «haineux» : un vrai fourre-tout !

La folie de ces gens va même jusqu’à imaginer un futur «pass porno». Même si nous n’avons rien contre vérifier l’âge des personnes qui consultent des sites pornographiques, la notion de vie privée ne veut plus rien dire pour les politiciens qui coupent la jambe au lieu de mettre un pansement.

Et ce n’est pas fini puisque nous l’avons encore échappé belle avec la fameuse loi Avia (celle qui a du mordant). De son véritable nom «Proposition de loi contre les contenus haineux sur Internet», cet arsenal législatif avait pour but de retirer d’Internet des contenus terroristes et pédopornographiques dans l’heure. Sauf qu’on y parlait aussi de «contenu haineux». Notion bien trop floue selon le Conseil Constitutionnel qui a renvoyé le texte chez LREM en mode Chronopost.

Le projet de loi a certes été jugé anticonstitutionnel… Mais la prochaine fois, «les Sages » n’auront peut-être pas les épaules pour nous protéger.

Le VPN : une arme anti-censure

Pour retrouver un Internet libre, il faut passer par un VPN. Après tout, il suffirait d’un vote à l’Assemblée pour nous retrouver avec un Internet à la chinoise ou à la russe… Demain on pourrait nous interdire certains sites d’informations jugés «haineux». Ça ne veut rien dire ? C’est fait pour !

Nous avons fait un comparatif avec les meilleurs VPN de 2023, mais pour cet article, nous allons parler de CyberGhost : le moins cher de tous puisqu’il ne coûte que 2,03 €/mois. C’est aussi un des plus complets avec des serveurs dédiés au stream, au jeu et au téléchargement.

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CyberGhost c’est 6724 serveurs dans 89 pays et un prix plancher à 2,03 €/mois…

Un Internet libre en 1 clic avec CyberGhost

1/ Des sites qui disparaissent de l’Internet français

L’année dernière, ce sont pas moins de 79 sites (répartis sur 79 domaines) qui ont été bloqués à la demande du CNC et de divers syndicats de l’industrie des loisirs. Du coup, impossible de se connecter à libertyvf.one par exemple. Qu’on soit pour ou contre le piratage n’est pas le propos : la censure sur Internet n’a pas lieu d’être. Sur notre capture d’écran, le site devient accessible avec une IP allemande.

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2/ Comment c’est possible ?

Avec CyberGhost, sur son mobile ou sur son ordinateur, il suffit de se choisir une IP dans un pays pas trop éloigné (Allemagne, Royaume-Uni, etc.) Vous n’êtes plus bloqué du tout, vous avez accès à ces sites bannis. Bien sûr, votre trafic est chiffré et vous êtes à l’abri de toutes les incursions dans votre vie privée…

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